The Early Trans-Caucasian Culture in Iran: Perspectives and problems

Most recent synthetic studies of the Early Trans-Caucasian (ETC) Culture have omitted inclusion of evidence from Iran, concentrating instead on the Trans-Caucasus and Eastern Turkey. Recent publication of Godin Tepe level IV and ETC stratigraphy and architecture at Yanik Tepe permit a wider assessme...

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Bibliographic Details
Published in:Paléorient Vol. 40; no. 2; pp. 155 - 168
Main Author: Summers, Geoffrey D.
Format: Journal Article
Language:French
Published: 2014
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Description
Summary:Most recent synthetic studies of the Early Trans-Caucasian (ETC) Culture have omitted inclusion of evidence from Iran, concentrating instead on the Trans-Caucasus and Eastern Turkey. Recent publication of Godin Tepe level IV and ETC stratigraphy and architecture at Yanik Tepe permit a wider assessment. Brief reports of new work undertaken by Iranian archaeologists have extended the range of ETC settlements to the edge of the Caspian Basin. Despite chronological imprecision arising from absence of 14C dates, an overview of the Urmia Basin and Western Zagros is attempted. Current evidence suggests that the ETC arrived in the Urmia Basin fully developed and rapidly spread south. This overview addresses local and regional differences in material culture, from building traditions to ceramic styles, against the overwhelming sense of cultural conservatism. A fi nal section is concerned with the end of the ETC and its apparent replacement by the Yayla Culture (Urmia Ware), in the Urmia Basin and portions of Eastern Anatolia. Les synthèses les plus récentes sur la culture Trans-Caucasienne ancienne (ETC) ont omis d’inclure les données venant d’Iran et se sont concentrées sur la Transcaucasie et l’Anatolie orientale. Les récentes publications sur le niveau IV de Godin Tepe et celles qui portent sur la stratigraphie et l’architecture de Yanik Tepe permettent d’en élargir l’étude. Des rapports succincts sur les recherches nouvelles, entreprises par des archéologues iraniens, ont permis d’étendre l’aire de répartition des sites ETC jusqu’au bassin de la mer Caspienne. Malgré une chronologie imprécise qui résulte de l’absence de datation radiocarbone, on s’attachera à dresser un état des lieux pour le bassin du lac d’Urmia et le Zagros occidental. Les données actuelles suggèrent que l’ETC est apparue pleinement développée dans le bassin du lac d’Urmia et s’est rapidement diffusée vers le sud. Ce tour d’horizon porte sur les différences locales et régionales dans la culture matérielle, depuis les traditions architecturales jusqu’aux styles de céramique, en opposition à l’impression générale de conservatisme culturel. Une dernière section concerne la fin de l’ETC, remplacée manifestement par la culture Yayla (poterie d’Urmia) dans le bassin d’Urmia et certaines parties de l’Anatolie orientale.
ISSN:0153-9345
DOI:10.3406/paleo.2014.5640