Short-term air pollution exposure is a risk factor for acute coronary syndromes in an urban area with low annual pollution rates: Results from a retrospective observational study (2011–2015)

Epidemiological data suggest that air pollutants are risk factors for cardiovascular disease. Recent studies have questioned the adequacy of current legal pollutant limits, because concentrations lower than those recommended still affect cardiovascular morbidity and mortality. To investigate the ass...

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Published in:Archives of cardiovascular diseases Vol. 113; no. 5; pp. 308 - 320
Main Authors: Gestro, Massimo, Condemi, Vincenzo, Bardi, Luisella, Tomaino, Laura, Roveda, Eliana, Bruschetta, Antongiulio, Solimene, Umberto, Esposito, Fabio
Format: Journal Article
Language:English
Published: Netherlands Elsevier Masson SAS 01-05-2020
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Description
Summary:Epidemiological data suggest that air pollutants are risk factors for cardiovascular disease. Recent studies have questioned the adequacy of current legal pollutant limits, because concentrations lower than those recommended still affect cardiovascular morbidity and mortality. To investigate the association between short-term exposure to air pollutants and the daily diagnosis of acute coronary syndrome (ACS) at the emergency department (ED) of S. Croce Hospital (Cuneo, Italy), between 2011 and 2015. We evaluated the effect of particulate matter (PM2.5–10), nitrogen dioxide and ozone as primary exposure, together with temperature and relative humidity as climatological control variables, on ED admissions for ACS (response variables). We studied residents aged ≥35 years, classified into three age groups (35–64, 65–74 and ≥75 years). Environmental data were analysed according to Poisson's regression, and conventional cardiovascular risk factors (CRFs; hypertension, diabetes, coronary artery disease, smoking and dyslipidaemia) were included as control variables. ED admissions for ACS were 1625/391,689, with 298 in 2011 (0.183%), 305 in 2012 (0.188%), 347 in 2013 (0.214%), 341 in 2014 (0.21%) and 334 in 2015 (0.206%), with a general growth rate of 2.08% (from 2011 to 2015). The CRFs examined were confirmed to be highly associated with occurrence of ACS. Our study identified PM2.5 and temperature in all age groups to be additional risk factors, with PM2.5 exposure (P<0.01) being a particular risk for those aged ≥75 years. Dose-response models confirmed only PM2.5 as the main environmental risk factor in elderly patients (relative risk 1.06, 95% confidence interval 1.02–1.11; lag time 0–3 days). We also found a consistent relative risk for temperature in all age groups. This study confirms the importance of PM2.5 as a risk factor for ACS, mostly in elderly patients, even in a city with low annual pollution rates. De nombreuses études épidémiologiques ont suggéré le rôle des polluants atmosphériques comme facteurs de risque des maladies cardiovasculaires. Des études récentes remettent en question la pertinence des limites légales actuelles pour les polluants, car des concentrations inférieures à celles recommandées, même en deçà des lignes directrices de l’OMS, affectent toujours la morbidité et la mortalité cardiovasculaires. Objectif Étudier l’association entre l’exposition à court terme aux polluants atmosphériques et le diagnostic quotidien des syndromes coronariens aigus (SCA) au cours des années 2011 à 2015, au service des urgences (SU) de Cuneo (Italie), une zone urbaine à faible taux de pollution annuel, conformément aux recommandations européennes actuelles. Nous avons évalué l’effet des particules (PM2,5–10), du dioxyde nitreux et de l’ozone, en tant qu’exposition primaire, ainsi que la température et l’humidité relative en tant que variables climatologiques de contrôle, sur les admissions en SU pour SCA (variables de réponse). Nous avons étudié les résidents âgés de 35 ans et plus classés en trois groupes d’âge (35–64, 65–74 et ≥75 ans). Les données environnementales ont été analysées selon la régression de Poisson, et les facteurs de risque cardiovasculaires conventionnels (FRC) ont été inclus dans l’analyse statistique comme variables de contrôle: hypertension, diabète, maladies coronariennes antérieures, le tabagisme et la dyslipidémie. Enfin, une statistique précise a été mise en œuvre pour saisir les effets différés possibles. Les admissions à l’urgence pour les SCA étaient 1625 sur un total de 391,689, avec 298 admissions à l’urgence en 2011 (0,183 %), 305 en 2012 (0,188 %), 347 en 2013 (0,214 %), 341 en 2014 (0,21 %) et 334 en 2015 (0,206 %), avec un taux de croissance général de 2,08 % (de 2011 à 2015). Il est confirmé que les FRC examiné sont fortement associé au début des SCA. Comme d’autres études bien établies, notre étude met également en évidence le rôle des PM2,5 et de la température dans tous les groupes d’âge en tant qu’exposition au risque supplémentaire avec les PM2,5 (P<0,01) chez les personnes âgées (≥75 ans). Les modèles dose-réponse confirment les résultats uniquement pour les PM2,5 en tant que principaux facteurs de risque environnemental observés chez les patients âgés (RR 1,06, IC à 95 % 1,02–1,10 ; délai de 0 à 3jours). Nous signalons également un RR constant pour la température dans tous les groupes d’âge. Cette étude confirme l’importance des PM2,5 comme facteur de risque pour l'SCA, surtout chez les patients âgés, même dans une ville où les taux de pollution annuels sont faibles.
Bibliography:ObjectType-Article-2
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ISSN:1875-2136
1875-2128
DOI:10.1016/j.acvd.2020.03.013