Consequences of restricting antimalarial drugs to rapid diagnostic test‐positive febrile children in south‐west Nigeria
Objectives To investigate the consequence of restricting antimalarial treatment to febrile children that test positive to a malaria rapid diagnostic test (MRDT) only in an area of intense malaria transmission. Methods Febrile children aged 3–59 months were screened with an MRDT at health facilities...
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Published in: | Tropical medicine & international health Vol. 24; no. 11; pp. 1291 - 1300 |
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Main Authors: | , , , , , , , , , , , , , , |
Format: | Journal Article |
Language: | English |
Published: |
England
Blackwell Publishing Ltd
01-11-2019
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Subjects: | |
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Summary: | Objectives
To investigate the consequence of restricting antimalarial treatment to febrile children that test positive to a malaria rapid diagnostic test (MRDT) only in an area of intense malaria transmission.
Methods
Febrile children aged 3–59 months were screened with an MRDT at health facilities in south‐west Nigeria. MRDT‐positive children received artesunate–amodiaquine (ASAQ), while MRDT‐negative children were treated based on the clinical diagnosis of non‐malaria febrile illness. The primary endpoint was the risk of developing microscopy‐positive malaria within 28 days post‐treatment.
Results
309 (60.5%) of 511 children were MRDT‐positive while 202 (39.5%) were MRDT‐negative at enrolment. 18.5% (50/275) of MRDT‐positive children and 7.6% (14/184) of MRDT‐negative children developed microscopy‐positive malaria by day 28 post‐treatment (ρ = 0.001). The risk of developing clinical malaria by day 28 post‐treatment was higher among the MRDT‐positive group than the MRDT‐negative group (adjusted OR 2.74; 95% CI, 1.4, 5.4). A higher proportion of children who were MRDT‐positive at enrolment were anaemic on day 28 compared with the MRDT‐negative group (12.6% vs. 3.1%; ρ = 0.001). Children in the MRDT‐negative group made more unscheduled visits because of febrile illness than those in MRDT‐positive group (23.2% vs. 12.0%; ρ = 0.001).
Conclusion
Restricting ACT treatment to MRDT‐positive febrile children only did not result in significant adverse outcomes. However, the risk of re‐infection within 28 days was significantly higher among MRDT‐positive children despite ASAQ treatment. A longer‐acting ACT may be needed as the first‐line drug of choice for treating uncomplicated malaria in high‐transmission settings to prevent frequent re‐infections.
Conséquences de la restriction des antipaludiques aux enfants fébriles positifs au test de diagnostic rapide dans le sud‐ouest du Nigéria
Objectifs
Investiguer la conséquence de restreindre le traitement antipaludéen uniquement à des enfants fébriles avec un résultat positif à un test de diagnostic rapide (TDR) du paludisme dans une zone de forte transmission du paludisme.
Méthodes
Les enfants fébriles âgés de 3 à 59 mois ont été dépistés avec un TDR du paludisme dans des établissements de santé du sud‐ouest du Nigéria. Les enfants avec un TDR positif ont reçu de l'artésunate‐amodiaquine (ASAQ), tandis que ceux avec un TDR négatif ont été traités sur la base du diagnostic clinique de maladie fébrile non liée au paludisme. Le critère d’évaluation principal était le risque de développer un paludisme positif au microscope dans les 28 jours suivant le traitement.
Résultats
309 (60,5%) des 511 enfants étaient positifs au TDR du paludisme tandis que 202 (39,5%) étaient négatifs au moment de leur inscription. 18,5% (50/275) des enfants TDR‐positifs et 7,6% (14/184) des enfants TDR‐négatifs ont développé un paludisme positif au microscope endéans le jour 28 après le traitement (ρ = 0,001). Le risque de développer un paludisme clinique endéans le 28è jour après le traitement était plus élevé dans le groupe TDR‐positif que dans le groupe TDR‐négatif (OR ajusté = 2,74; IC95%: 1,4 ‐ 5,4). Une proportion plus élevée d'enfants TDR‐positifs au moment de l'inscription étaient anémiques au 28è jour par rapport au groupe TDR‐négatif (12,6% contre 3,1%; ρ = 0,001). Les enfants du groupe TDR‐négatif ont effectué plus de visites non planifiées en raison d'une maladie fébrile que ceux du groupe TDR‐positif (23,2% contre 12,0%; ρ = 0,001).
Conclusion
Le fait de limiter le traitement de combinaison à l'artémisinine (TCA) aux seuls enfants fébriles présentant un résultat positif au TDR n'a pas eu d'effet indésirable significatif. Cependant, le risque de réinfection dans les 28 jours était significativement plus élevé chez les enfants TDR‐positifs malgré le traitement par ASAQ. Un TCA à action prolongée pourrait être nécessaire en tant que médicament de choix en première ligne pour traiter le paludisme sans complications dans les régions à forte transmission afin de prévenir les réinfections fréquentes. |
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Bibliography: | ObjectType-Article-1 SourceType-Scholarly Journals-1 ObjectType-Feature-2 content type line 23 |
ISSN: | 1360-2276 1365-3156 |
DOI: | 10.1111/tmi.13304 |