Planning a Family: Priorities and Concerns in Rural Tanzania
A fertility survey using qualitative and quantitative techniques described a high fertility setting (TFR 5.8) in southern Tanzania where family planning use was 16%. Current use was influenced by rising parity, educational level, age of last born child, breastfeeding status, a preference for longer...
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Published in: | African journal of reproductive health Vol. 8; no. 2; pp. 111 - 123 |
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Main Author: | |
Format: | Journal Article |
Language: | English |
Published: |
Nigeria
Women's Health and Action Research Centre
01-08-2004
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Summary: | A fertility survey using qualitative and quantitative techniques
described a high fertility setting (TFR 5.8) in southern Tanzania where
family planning use was 16%. Current use was influenced by rising
parity, educational level, age of last born child, breastfeeding
status, a preference for longer than the mean birth interval (32
months), not being related to the household head, and living in a house
with a tin roof. Three principal concerns amongst women were outlined
from the findings. First, that there is a large unmet need for family
planning services in the area particularly among teenagers for whom it
is associated with induced abortion. Second, that family planning is
being used predominantly for spacing but fears associated with it often
curtail effective use. Third, that service provision is perceived to be
lacking in two main areas - regularity of supply, and addressing
rumours and fears associated with family planning. Reproductive health
interventions in the area should ultimately be more widespread and, in
particular, abortion is highlighted as an urgent issue for further
research. The potential for a fast and positive impact is high, given
the simplicity of the perceived needs of women from this study. (Afr J
Reprod Health 2004; 8[2]:111-123 )
Une enquête sur la fertilité menée à l'aide des
techniques qualitatives et quantitatives, a fait une description d'un
cadre d'une haute fertilité (TFR 5.8) en Tanzanie du sud où
l'emploi de la planification familiale était actuellement de 16%.
L'emploi courant était influencé par la parité en
hausse, le niveau de l'éducation, l'âge du dernier enfant, le
statut de l'allaitement, la préférence pour une durée
plus longue de l'intervalle de naissance moyenne (32 mois), le fait de
ne pas être un parent du chef de la famille et le fait que l'on
habite dans une maison à un toit d'étain. L'étude a
précisé trois principaux soucis chez les femmes. D'abord, il
y a un grand besoin non-satisfait des services de planification
familiale dans la région, surtout parmi les adolescentes pour qui
ils sont liés à l'avortement provoqué.
Deuxièmement, qu'on se sert de la planification surtout
l'espacement des naissances mais les craintes liées à la
planification familiale entravent l'emploi effectif.
Troisièmement, que la prestation des services n'est pas
perçue comme étant suffisante dans deux domaines principaux -
la fréquence de la prestation et les tentatives de resourdre les
problèmes de rumeurs et des craintes liées à la
planification familiale. Les interventions sur le plan de la santé
publique dans le domaine devront être en fin de compte beaucoup
plus répandues; et nous avons surtout précisé que
l'avortement est un problème urgent qui mérite davantage des
recherches. Il existe le potentiel pour un impact rapide et positif,
étant donné la simplicité des besoins aperçus des
femmes, d'après cette étude. (Rev Afr Santé Reprod 2004;
8[2]:111-123 ) |
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Bibliography: | ObjectType-Article-1 SourceType-Scholarly Journals-1 ObjectType-Feature-2 content type line 23 |
ISSN: | 1118-4841 2141-3606 |
DOI: | 10.2307/3583185 |