A review of wildlife camera trapping trends across Africa

Camera traps (CTs) are used for wildlife monitoring globally. How CTs are used in wildlife studies across Africa, however, remains unknown. We provide the first literature review of CT studies conducted across Africa, to describe where, to what end, and by whom CTs are used, and to identify apparent...

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Published in:African journal of ecology Vol. 56; no. 4; pp. 694 - 701
Main Authors: Agha, Mickey, Batter, Tom, Bolas, Ellen C., Collins, Amy C., Gomes da Rocha, Daniel, Monteza‐Moreno, Claudio M., Preckler‐Quisquater, Sophie, Sollmann, Rahel
Format: Journal Article
Language:English
Published: Nairobi Blackwell Publishing Ltd 01-12-2018
Subjects:
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Description
Summary:Camera traps (CTs) are used for wildlife monitoring globally. How CTs are used in wildlife studies across Africa, however, remains unknown. We provide the first literature review of CT studies conducted across Africa, to describe where, to what end, and by whom CTs are used, and to identify apparent gaps in the use of CTs. We found 172 CT studies published across 60 scientific journals, conducted in 30 of 55 African countries from 2005 to 2017. Most studies were conducted over a single year/season (74%) and primarily addressed habitat use/species distribution (43%), species presence/richness (38.4%), behaviour (35.5%) or demographics (29.7%). Most studies took place in forest (52%), woodland (33%) and grassland (33%) habitat types, and focused on a single species (45.3%). Carnivores were the most commonly studied species group (86%), followed by large herbivores (58%) and primates (38%). Our results suggest that camera trapping is rapidly increasing in use across Africa and potentially driven by country‐based economic factors; however, there is room for improvement. CTs could be expanded in use for studies on underrepresented taxa (i.e. small mammals, reptiles and birds), investigations of human–wildlife conflict and understudied ecoregions (i.e. Sahara Desert). Résumé Les pièges photographiques (CT) sont utilisés dans le monde entier pour le suivi de la faune sauvage. Mais on ne sait pas comment les CT sont utilisés dans les études de la faune en Afrique. Nous proposons ici la première analyse de la littérature portant sur les études menées par CT en Afrique, pour décrire où et qui s'en sert, et pour identifier les lacunes apparentes de leur utilisation. Nous avons trouvé 172 publications sur des études réalisées avec CT dans 60 revues scientifiques, dans 30 des 55 pays Africains entre 2005 et 2017. La plupart des études avaient été menées en une seule année/saison (74%) et concernaient principalement l'utilisation des habitats/la distribution des espèces (43%), la présence/richesse en espèces (38.4%), le comportement (35.5%) ou la démographie (29.7%). La plupart des études s’étaient déroulées en forêt (52%), zone boisée (33%) et prairie (33%) et se focalisaient sur une seule espèce (45.3%). Les carnivores étaient le groupe le plus fréquemment étudié (86%), suivis par les grands herbivores (58%) et les primates (38%). Nos résultats laissent penser que l'utilisation du piégeage photographique est en croissance rapide dans toute l'Afrique, peut‐être encouragée par des facteurs économiques nationaux. Mais il y a moyen de faire mieux. On pourrait étendre l'utilisation des CT à des études de taxons sous‐représentés (e.x. petits mammifères, reptiles, oiseaux), à des recherches sur des conflits hommes‐faune sauvage, et à des écorégions trop peu étudiées (e.x. Désert du Sahara).
ISSN:0141-6707
1365-2028
DOI:10.1111/aje.12565