Biomechanical analysis of a new 8-strand technique for flexor tendon repair

We sought to compare the strength and rupture sites of a new 8-strand suture technique with those of an established 6-strand flexor tendon repair through biomechanical analysis. This new 8-strand suture pattern places minimal suture material in the remodeling zone and focuses on protecting the knot,...

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Published in:Hand surgery and rehabilitation Vol. 39; no. 5; pp. 442 - 447
Main Authors: Christen, S., Larsson, P., Hainich, J., Gruenert, J., Brodbeck, M.
Format: Journal Article
Language:English
Published: France Elsevier Masson SAS 01-10-2020
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Description
Summary:We sought to compare the strength and rupture sites of a new 8-strand suture technique with those of an established 6-strand flexor tendon repair through biomechanical analysis. This new 8-strand suture pattern places minimal suture material in the remodeling zone and focuses on protecting the knot, a well-known weak point of the suture construct. The knot was buried within the tendon so as to not interfere with tendon gliding. In a biomechanical simulation, strength and rupture sites were compared with those of the 6-strand repair. We repaired a total of 54 porcine flexor tendons using one of the two techniques (n=27 each). Tensile strength at 2-mm gap formation and ultimate failure load were determined. Afterwards, we dissected the tendons to identify the rupture site of the suture material. The new 8-strand suture had a significant higher ultimate load to failure (87.7N) and 2-mm gap load (71.6N) compared to the 6-strand technique (57.7N and 45.9N) (P<0.001). Whereas the rupture site of the core suture in the 6-strand technique was mainly located next to the knot (81.5%), the suture seemed to fail independently from this weak spot in the 8-strand technique (11.1%). This new 8-strand technique achieves a strong flexor tendon repair in a biomechanical model. Additional cross-locking on either side of the knot seems to contribute to the repair's strength. The resulting higher ultimate failure load and 2-mm gap load may allow more aggressive active motion-based postoperative rehabilitation. Dans cette étude, nous avons comparé une nouvelle méthode de suture multibrins à la technique établie à 6 brins de Lim-Tsai, en termes de force et de sites de rupture, pour la prise en charge des lésions des tendons fléchisseurs. Nous proposons une nouvelle technique de suture à 8 brins utilisant un minimum de matériel dans la zone de remodelage et prenant tout particulièrement en compte la protection du nœud, ce dernier étant un point faible structurel connu des sutures tendineuses. Le nœud était caché de manière à ne pas entraver le glissement tendineux. À l’aide d’une simulation biomécanique, nous avons réalisé une analyse comparative de la force de résistance et des sites de rupture tendineuse entre cette technique et la méthode à 6 brins proposée par Lim-Tsai. Nous avons réparé 54 tendons fléchisseurs porcins à l’aide de l’une de ces 2 techniques (n=27 pour chacune) et avons mesuré les contraintes résultant en un écart intertendineux de 2mm (2-mm gap formation) ainsi que la force maximale avant rupture (ultimate failure load). Ensuite, nous avons disséqué les tendons afin de localiser le site de rupture du matériel de suture. La nouvelle technique de suture à 8 brins montrait un seuil maximal avant rupture (87,7N) et une charge entraînant un écart intertendineux de 2mm (71,6N) significativement plus élevés en comparaison avec la technique à 6 brins (57,7N et 45,9N) (p<0,001). Alors que le site de rupture de la suture centrale était localisé principalement au niveau du nœud dans la technique à 6 brins (81,5 %), il est apparu que la rupture dans la technique à 8 brins n’était pas liée à ce point faible (11,1 %). La nouvelle technique à 8 brins permet une réparation renforcée au niveau des tendons fléchisseurs dans notre modèle biomécanique. Le verrouillage croisé sur les deux côtés du nœud semble contribuer à la force de réparation. Grâce à un seuil de rupture plus élevé et à une plus grande charge entraînant un écart intertendineux de 2mm, cette technique pourrait permettre une rééducation active plus agressive.
Bibliography:ObjectType-Article-1
SourceType-Scholarly Journals-1
ObjectType-Feature-2
content type line 23
ISSN:2468-1229
2468-1210
DOI:10.1016/j.hansur.2020.05.004